J’ai demandé à des français et des françaises résidant à l’étranger de nous parler de leur expatriation et de leur situation actuelle, dans un contexte épidémique. Les interviews ont été synthétisés en des témoignages et anonymisés. Merci à elles, merci à eux de raconter leur histoire.
J’ai demandé à des français et des françaises résidant à l’étranger de nous parler de leur expatriation et de leur situation actuelle, dans un contexte épidémique. Les interviews ont été synthétisés en des témoignages et anonymisés. Merci à elles, merci à eux de raconter leur histoire.
Aujourd’hui j’ai décidé de vous parler de l’environnement et du rapport à la nature en lien avec la différence culturelle. En effet, demain je discuterai avec Tiphaine Lambert, conseillère en zéro déchet de l’Agence Reducto, de l’écoanxiété en live sur mon compte Instagram. Le sujet est très large, c’est pourquoi j’ai décidé de me concentrer sur la question des relations qu’entretiennent les êtres humains avec la nature.
J’ai demandé à des français et des françaises résidant à l’étranger de nous parler de leur expatriation et de leur situation actuelle, dans un contexte épidémique. Les interviews ont été synthétisés en des témoignages et anonymisés. Merci à elles, merci à eux de raconter leur histoire.
Historiquement, la notion d’acculturation est apparue bien avant celle d’interculturation. Elle a permis de conceptualiser les premiers travaux qui étudiaient le rapport entre des personnes de cultures différentes.
Le syndrome du voyageur ou syndrome indien a été rapporté par le psychiatre Régis Airault dans les années 1985-86 lors de son expérience en Inde en tant que médecin. Il a observé que de nombreux occidentaux développaient, au contact de la culture indienne, des sentiments étranges et une perte de contact avec la réalité. Ces manifestations s’apparentaient parfois à un véritable trouble psychiatrique grave (que l’on nomme psychose) avec des délires ou des hallucinations.
L’enculturation est un concept développé par Margaret Mead, une anthropologue américaine ayant étudié les rapports humains dans les sociétés décrites comme “primitives”. Sa contribution à la psychologie interculturelle est indéniable puisqu’elle a beaucoup travaillé sur l’interaction entre culture, éducation, psychologie et société.
Depuis plusieurs années et de manière exponentielle, notre communication a été transformée par le numérique et les NTIC (Nouvelles Technologies d’Information et de Communication). Internet change nos communications et notre manière de voir le monde. Encore plus que le téléphone qui nous permet d’échanger avec des personnes dans le monde entier, nous sommes maintenant capables de voir la vie d’habitant.e.s d’autres pays du monde depuis notre salon.
Il n’est pas difficile de le remarquer, il existe des différences entre les cultures. On peut les percevoir clairement ou non. Ce sont elles qui sont à l’origine des possibles incompréhensions, discordes ou perte de repères qu’entraînent les relations entre personnes appartenant à différentes cultures. Comment pouvons-nous tenter de mieux les identifier ?
Qu’est-ce que la culture ? Comment peut-on la définir et l’identifier ? Large sujet tant elle a été l’objet de centaines de définitions et de recherches en sciences humaines. Nous la définirons ainsi, selon Kroeber et Kluckhohn : la culture est un ensemble de valeurs, d’états mentaux, de types de comportements, de savoir-faire, les productions de ces savoir-faire et d’institutions et de modes d’organisation collectives.
